La plus cosmopolite des métropoles du continent nord-américain – certains disent du monde – s’affiche comme un modèle de développement urbain et technologique réussi. Un exemple canadien à suivre pour ses concurrentes états-uniennes à qui elle n’aurait pas grand-chose à envier. Entourés par l’une des plus grandes ceintures vertes au monde, au bord du lac Ontario, Grand Toronto et sa région, le « fer à cheval doré », poursuivent au galop leur expansion métropolitaine. Au risque de rater certains obstacles.
Toronto est un brillant exemple du type d’urbanisation qui a émergé avant et après la crise financière de 2008, dont elle a été largement épargnée.
Roger Keil, géographe, politologue à l’université York de Toronto
La suite de cet article est réservé aux abonnés.
Pour en profiter, abonnez-vous dés maintenant ou connectez-vous.